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05/09/2010

On n'est pas couché - François Bayrou

02/09/2010

C à Vous - François Bayrou

20:15 Publié dans A la Une, Actualités, Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bayrou, modem, c a vous, django, depardieu, binoche | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

21/06/2010

RTL - François Bayrou

16/06/2010

iTélé - François Bayrou

14/06/2010

Mots Croisés - François Bayrou

22/03/2010

L'appel du 22 mars, entre effet de serre et usine à gaz

575x385_1518167_0_2978_ill-1322352-95d2-682478.jpgCohn-Bendit appelle à l'échauffement collectif des neurones. Il semble s'agir de valider sa proposition de d'inventer une forme d'organisation politique nouvelle. Alors bonne chance à tous, y compris aux déçus du MoDem, spécialistes de l'échauffement par excitation comme de l'échauffement par friction.

Et puis pensez à surveiller la température parce que le marais socialiste vous observe : gare à la montée des eaux...

10:18 Publié dans A la Une, Actualités, Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : bayrou, modem, dcb, cohn-bendit, europe, ecologie, 22mars | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

18/03/2010

Le mystère de la troisième voie

PAR07_FRANCE-_0318_11.jpgIl paraît que c'est la troisième voie.

Toute ressemblance avec l'une des deux premières serait, bien entendu, purement fortuite.

 

09:18 Publié dans A la Une, Actualités, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bayrou, mode, regionales, ps, europe, ecologie, aubry, duflot, buffet | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

21/10/2009

L'EPAD/EPGD recrute quand même des assistants...

60_wp_1024.jpgJuriste Collectivités-Marchés Publics
Alternance/ Apprentissage

Poste et Mission :   Assistanat du responsable des Marchés Publics (travaux/fournitures et services) et des divers contrats soumis au   Service Marchés de l'établissement).

Le titulaire du poste conseille et assiste les services de l'établissement, de la passation au suivi des Marchés Publics. Il prend en charge la rédaction de certains marchés (maîtrise d'œuvre, marchés de fournitures et de services). Il pourra également assurer la rédaction ou la validation de contrats et conventions liés   aux activités de l'établissement.

Il participera activement :

- A l'élaboration des règles et procédures internes en matière de MP,

- A leur diffusion et à celle de l'information relative aux MP auprès des techniciens de l'établissement.

Ce poste nécessite une bonne connaissance du Code des MP. Capacités d'écoute, d'adaptation et de réactivité, esprit de synthèse et goût du travail en équipe.

Formation en alternance/apprentissage/professionnalisation admis(e) en M2 de droit public (Collectivités Territoriales), vous êtes disponible à compter de mi-septembre 2009. Connaissances spécifiques : Outils bureautique et internet

Affectation :   13, place des Reflets -92 081 Paris La Défense

Contact : rh@epgd.fr

 

[source]

05:18 Publié dans A la Une, Actualités, Institutions, Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : bayrou, modem, jean, sarkozy, epad | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

30/08/2009

Ni droite, ni gauche nippon

photo_0302_459_306_56875.jpg

Au Japon, la droite battue après 54 ans de pouvoir.

Le président du PDJ, Yukio Hatoyama, 62 ans, devrait être nommé Premier ministre par le nouveau Parlement d’ici deux semaines. (© AFP Yoshikazu Tsuno)

Les Japonais ont voté massivement dimanche en faveur de l’opposition centriste qui a promis de mener une politique plus sociale, après 54 ans de règne des conservateurs sur la deuxième économie du monde.

 

Libération - Le Figaro - Le Monde - Rue89

On notera dans les articles en liens l'étrange singularité du Figaro pour qui le PDJ est un parti forcément de gauche puisqu'il n'est pas de droite...

16:43 Publié dans A la Une, Actualités | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bayrou, modem, democrate, japon, elections, legislatives | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

09/06/2009

Deux analyses partagées...

 

Celle de Bernard Lehideux et celle de Jean-Marc Lech, co-président d'IPSOS...

29/05/2009

Débat Marielle de Sarnez / Daniel Cohn-Bendit sur BFMTV

05/04/2009

No more business like show-business (Irving Berlin revisited)

bowie_on_bowie.jpg''I don't even know why I would want to be on a label in a few years, because I don't think it's going to work by labels and by distribution systems in the same way,'' he said. ''The absolute transformation of everything that we ever thought about music will take place within 10 years, and nothing is going to be able to stop it. I see absolutely no point in pretending that it's not going to happen. I'm fully confident that copyright, for instance, will no longer exist in 10 years, and authorship and intellectual property is in for such a bashing.''

''Music itself is going to become like running water or electricity,'' he added. ''So it's like, just take advantage of these last few years because none of this is ever going to happen again. You'd better be prepared for doing a lot of touring because that's really the only unique situation that's going to be left. It's terribly exciting. But on the other hand it doesn't matter if you think it's exciting or not; it's what's going to happen.''

NewYork Times - 09/06/2002 - David Bowie, 21st century entrepreneur

04/04/2009

Université Populaire du Mouvement Démocrate - Le direct

09/09/2008

Subprime : marché accusé, État coupable

6a00d8356fb76c69e200e551dea3558834-800wi.jpgLa cause est entendue pour nombre d'observateurs : la crise financière des subprime est la conséquence de la folie des marchés et montre les limites d'une finance ultralibérale. Et de réclamer d'urgence plus de régulation publique des institutions financières.

Le libéralisme a une fois de plus bon dos, car il n'existe pas de marché plus perverti par les interventions de l'État fédéral que celui du crédit hypothécaire aux États-Unis.

Les deux institutions joliment surnommées Fannie Mae (FNMA) et Freddie Mac (FHLMC) portent une lourde responsabilité dans les dérives financières du système bancaire américain. La première d'entre elles fut tout d'abord une agence gouvernementale, créée en 1938 par l'Administration Roosevelt, pour émettre des obligations à bas taux du fait de leur garantie fédérale, lesquelles alimentaient de liquidités un marché de prêts immobiliers à taux réduits accessibles aux familles les moins aisées.

En 1968, l'Administration Johnson, s'avisant que les engagements de Fannie Mae garantis par l'État prenaient de l'ampleur et obéraient la capacité d'emprunt d'un Trésor empêtré dans le financement de la guerre du Vietnam, organisa sa privatisation, puis le gouvernement Nixon créa en 1970 Freddie Mac, afin d'organiser un semblant de concurrence sur ce marché du refinancement du crédit hypothécaire.

Cette histoire a donné à Fannie Mae et Freddie Mac un statut hybride de Governement Sponsored Enterprise (GSE), privées, mais légalement tenues de s'occuper exclusivement de refinancement de prêts immobiliers sous contrôle de l'État fédéral, en contrepartie d'avantages fiscaux. Pis même, bien qu'étant officiellement privés, les deux établissements ont toujours été considérés, du fait de leur tutelle publique et de leur rôle social, comme bénéficiant d'une garantie implicite du Trésor américain !

Bénéfices privatisés, pertes collectivisées : Un tel cocktail risquait de pousser les dirigeants des GSE à prendre des risques excessifs, si la tutelle de l'État se montrait défaillante. C'est exactement ce qui allait se passer dans les années 1990. Voilà qui rappelle un célèbre scandale bancaire hexagonal…

La tutelle de ces deux entreprises fut transférée au Département américain du logement (HUD) en 1992, car celui-ci voulait agir sur les prêts financés par les GSE pour satisfaire un objectif majeur de tout politicien qui se respecte outre-Atlantique : l'augmentation du taux de propriétaires de logement parmi les populations à faible revenu, et notamment les minorités.

Aussi le HUD a-t-il obligé Fannie Mae et Freddie Mac à augmenter tant le volume que la proportion de crédits subprime (jusqu'à 56 %, en 2004) refinancés. Pire, un des patrons du HUD, craignant que l'affichage des risques pris par les deux GSE pour se conformer à ces règles conduise les marchés à leur retirer leur confiance, résolut le problème en les exemptant en toute légalité de dévoiler trop en détail leurs expositions.

Aussi Fannie Mae et Freddie Mac ont refinancé, à l'aide de produits obligataires de plus en plus complexes, plus de 5 000 milliards de dollars de crédits, soit 40 % des prêts immobiliers américains, dont plus de la moitié de crédits subprime, alors qu'elles ne disposaient pas de fonds propres permettant de s'engager sur de tels montants. Résultat, les banques émettrices de ces crédits ont pu ne pas se montrer trop regardantes sur les prêts qu'elles consentaient, puisqu'il y avait deux refinanceurs à la bourse grande ouverte derrière. La banque Countrywide, dont la politique de prêts aux familles modestes est aujourd'hui vilipendée, était encore il y a trois ans encensée par les dirigeants de Fannie Mae, pour son audace en matière d'octroi de crédits subprime.

Mais le retournement de conjoncture économique a multiplié les défaillances d'emprunteurs, les deux GSE sont donc menacées de ne plus pouvoir servir les intérêts de leurs obligations, ce qui, par contagion, pourrait affecter tous les investisseurs institutionnels. Du coup, l'État organise dans l'urgence leur sauvetage, lequel devrait coûter plusieurs centaines de milliards de dollars aux contribuables.

Une seconde intervention publique a amplifié les excès bancaires dans l'octroi de crédits à des familles insolvables. Dans les années 1990, des études révélèrent que les refus de prêts aux membres des communautés noires et hispaniques étaient un peu plus nombreux que vis-à-vis des Blancs ou des Asiatiques, quand bien même ces refus ne concernaient qu'une demande de prêt sur quatre. Certains lobbies y virent non le reflet logique de la moindre richesse de ces communautés, mais la preuve d'un prétendu racisme du monde financier.

Une loi antidiscriminatoire de 1977, le Community Reinvestment Act (CRA), fut donc renforcée en 1995 pour rendre plus ardu le refus de crédit aux minorités par les banques, sous peine de sanctions renforcées. Celles-ci durent donc abandonner partiellement le rôle prudentiel qu'elles jouent habituellement lorsqu'elles refusent un prêt à une personne objectivement peu solvable. Pas si grave : Fannie Mae et Freddie Mac étaient là pour refinancer ces prêts délicats !

Aujourd'hui, nombre d'experts estiment que sans le CRA, sans les GSE, l'accès à la propriété des minorités se serait tout de même développé, moins rapidement mais plus sainement. En voulant accélérer artificiellement ce que l'économie libre accomplissait à son rythme, c'est l'État, tantôt régulateur, tantôt législateur, qui a poussé à l'irresponsabilité les acteurs de la chaîne du crédit, provoqué une crise financière grave, et acculé à la faillite nombre de familles qu'il prétendait aider.

[Les libéraux du Mouvement Démocrate]

13/06/2008

Non, les peuples ne font pas de compromis

europe.JPGLes peuples ne font pas de compromis.

Ils ne sont pas là pour ça, d'ailleurs. C'est à leurs représentants, aux politiques, de les assumer en leur nom, car chaque peuple voit l'Europe à sa manière et de sa fenêtre. C'est un fait.

Ne pas en tenir compte a "constitué" une lourde erreur et continuer ainsi ne résoudra aucun problème.

Pourtant, l'approbation des peuples est nécessaire. A certaines étapes, fondatrices ou refondatrices, une légitimité renforcée est indispensable, sous peine d'éloignement ou de remise en cause globale d'un projet qui leur est pourtant destiné.

Les référendums nationaux ont jusqu'à ce jour constitué ce moyen avec les fortunes diverses que l'on sait. L'étude de leurs échecs, si elle conduit à confirmer l'observation en titre, permet conséquemment de nous guider vers la solution.

Où se confirme l'intuition de Bayrou pour un traité simple et compréhensible par tous, et il ne pourrait alors que l'être, de fait :

On ne pourra obtenir l'approbation et l'unanimité de nos peuples que pour un texte qui se fonde, non pas sur un compromis, mais sur ce qui nous est commun. Exclusivement.

Si nous avons erré, jusqu'alors, à chercher le plus petit commun multiple, il nous faut extraire, aujourd'hui, le plus grand commun dénominateur.